La Chine est actuellement au sommet du monopole de l’industrie textile mondiale. Cette position s’est affirmée par la garantie de production pour toutes les commandes de la part du monde entier en ce qui concerne la production de vêtements. Malgré le fait du système de quotas sur les importations internationales éradiqué, l’Empire du milieu s’est est sorti renforcée mais l’objectif restera toujours le maintien de cette position dans les années à venir.

Actuellement, le principal objectif des pays occidentaux restera de détrôner la Chine du fauteuil de leader de l’industrie textile mondiale. En ce sens, la bataille s’annonce féroce et l’a toujours été auparavant. En effet, le pays s’est souvent sorti vainqueur dans la bataille qui concerne l’exportation mondiale de fibres textiles et de vêtements. Cela s’explique notamment par sa formidable capacité de production, ajoutée à cela la fin du système de quotas qui a permis d’ouvrir de nouvelles perspectives à ce pays notamment les expansions vers les pays de l’Asie du sud est. Mais la réalité en est tout autre pour les ouvriers œuvrant à cette réussite : ils n’aucun mot à dire et les conditions de travail sont déplorables. Les revendications ouvrières font également l’objet d’une sourde oreille de la part du gouvernement qui préfère se concentrer sur un PIB par habitant en hausse constante.

Compte tenu des nouvelles conjonctures économiques actuelles, la Chine se tourne désormais vers la délocalisation de ses usines. C’est une perspective inattendue de la part de l’Empire du milieu et bon nombre d’experts sur l’industrie textile mondiale s’en sont maintes fois étonnés. Mais le pays juge cette décision appropriée pour assouvir son souhait de rester le leader incontesté de ce secteur aux dépends de la concurrence féroce, surtout de la part des pays  occidentaux. La destination prisée pour cette délocalisation reste les pays de l’Asie du sud est comme le Cambodge et son parc industriel de Phnom Penh. Les raisons du choix de ses pays résident dans le fait que la main d’œuvre ne coute presque rien et le prix du loyer y sont largement plus bas qu’avec celui de l’Empire du milieu. Ces deux seuls arguments ont réussi à séduire les industriels chinois qui y voient une perspective d’exportation en masse d’ici les années à venir. Il est actuellement constaté une difficulté à concurrencer le « made in China » pour la concurrence notamment de l’Europe, ce qui a pour conséquence directe la menace des emplois liés au secteur.

Par Chinese Institute

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